30 gennaio 2018

Tesla: la genialità di Elon Musk e le critiche gratuite

AUTORE  · 

29 gennaio 2018

World: Chemical Giant Covered Up Health Risks of Teflon Contamination Across Globe | Daily Digest 01/23/2018

A Warning from the Center of the World: Pacific Nation Kiribati Is Disappearing as Sea Level Rises

Democracy Now! Daily Digest

A Daily Independent Global News Hour with Amy Goodman & Juan González

Tuesday, January 23, 2018

Stories


 
Broadcasting from the Sundance Film Festival, we are joined by three guests who personally battled with DuPont and are featured in the new documentary called ... Read More →

At the Sundance Film Festival in Park City, Utah, we speak with former President Anote Tong about his desperate efforts to save his small Pacific Island state ... Read More →

Headlines →

Follow

Facebook Twitter RSS & Podcasts Google+

WORK WITH DEMOCRACY NOW!


WEB EXCLUSIVE


SPEAKING EVENTS


WEB EXCLUSIVE


COLUMN


WEB EXCLUSIVE




28 gennaio 2018

27 gennaio 1893: Tesla tramette energia elettromagnetica senza fili

Nikola Tesla dimostra la possibilità di trasmettere, senza l’ausilio di una rete fisica, energia elettromagnetica, formulando di fatto le sue “Teorie sui campi”. Il fisico, inventore ed ingegnere di origine serba naturalizzato statunitense è stato il fautore dello sviluppo di molti settori delle scienze applicate, tra cui l’elettricità moderna. A lui si deve la nascita della corrente alternata, tutt’ora utilizzata, la seconda rivoluzione industriale e le trasmissioni wireless. Al momento della sua morte, nel 1943, i brevetti registrati a suo nome erano 280 a dimostrazione di quanto la sua mente fosse geniale e produttiva ed in molti casi troppo proiettata al futuro per il periodo che ha ospitato la sua vita.

To see the article visit www.italnews.info

CLOSER - Sci-Fi Short Movie - Full HD

27 gennaio 2018

[Reseau Voltaire] Secrets, mensonges et confusion US au Nord de la Syrie 23 01 2018


Réseau Voltaire
Secrets, mensonges et confusion US au Nord de la Syrie
par Thierry Meyssan
Les annonces et démentis de l'administration Trump sur les développements militaires au Nord de la Syrie révèlent un lourd secret. Paradoxalement, la Turquie vient au secours des États-Unis pour corriger « l'erreur » de leurs officiers supérieurs.
Réseau Voltaire | Damas (Syrie) | 23 janvier 2018
JPEG - 42.4 ko
Brett McGurk
Le démenti apporté par le secrétaire d'État Rex Tillerson, le 17 janvier aux propos du commandant-en-chef du CentCom, le général Joseph Votel, le 23 décembre et du porte-parole de la Coalition anti-Daesh, le colonel Thomas Veale, le 13 janvier, a semé la confusion.
Il n'a pas satisfait la Turquie qui, après avoir mis en garde le chargé d'Affaires US, Philip Kosnett, le 10 janvier, et préparé dès le 13 janvier une opération militaire à Afrine et Manbij, l'a effectivement lancée le 20.
Contrairement aux déclarations des uns et des autres, la décision US n'était pas de créer un État souverain et indépendant au Nord de la Syrie —cela, c'est le projet français—, mais un État non-reconnu, comme le Puntland somalien ou le Kurdistan irakien. Cette dernière structure est absolument indépendante et, malgré la Constitution iraquienne, ne répond pas aux ordres de l'Iraq dont elle fait en principe partie. Elle dispose d'ailleurs de ses propres ambassades à l'étranger.
La Force de sécurité aux frontières (Syrian Border Security Force) devait officiellement être composée de 30 000 hommes dont moitié d'anciens des Forces démocratiques syriennes (Democratic Syrian Forces). Ces combattants devaient être formée durant trois semaines aux techniques d'interrogatoire et au scanning biométrique. 230 cadets ont déjà suivi ce cursus.
Dans la pratique, l'autre moitié devait être composée de 15 000 anciens jihadistes de Daesh qui auraient ainsi été discrètement recyclés.
En réalité, le représentant spécial du président Trump auprès de la Coalition, Brett McGurk, était le juriste qui participa, aux côtés de John Negroponte et du colonel James Stelle à la création de l'Émirat islamique en Iraq, en 2006. Il fut chargé aux côtés du colonel James Coffman de rendre compte de cette opération secrète au président George Bush. Il s'agissait de combattre la Résistance iraquienne à l'occupant en la divisant en sunnites et chiites et en créant artificiellement une guerre civile.
Après un passage à Harvard, Brett McGurk fut réaffecté au département d'État auprès de John Kerry. Il participa à la transformation de l'Émirat islamique en Iraq en Daesh et co-organisa la réunion préparatoire de l'invasion jihadiste de l'Iraq, le 27 mai 2014, à Amman. Il réorganisa l'Iraq, puis forma la Coalition internationale chargée de lutter… contre Daesh.
Bon élève, il accepta de servir le président Trump pour mettre fin à l'organisation jihadiste qu'il avait créée et dont il tente aujourd'hui de recycler certains combattants.
JPEG - 57.5 ko
Le 18 août dernier, Brett McGurk recevait amicalement des dirigeants de Daesh. Officiellement, les États-Unis se préparaient à écraser l'organisation jihadiste.
Le projet de Force de sécurité aux frontières en dit beaucoup sur la sincérité des miliciens du YPG qui professent le doux anarchisme de Murray Boochkin, mais peuvent sans état d'âme former une unité unique avec les tueurs de Daesh sous commandement US.
Contrairement aux apparences, l'attaque turque à Afrine, et probablement bientôt à Mambij, a été approuvée le 18 et le 19 janvier par l'état-major russe, qui en a été avisé par le numéro 2 du régime et chef des services secrets, le directeur du MIT (Milli İstihbarat Teşkilatı), Hakan Fidan, venu spécialement à Moscou. Elle a d'ailleurs été facilitée par le retrait immédiat des troupes russes de la zone combat.
Identiquement, la Turquie a informé par écrit la Syrie de son attaque, même si Damas assure ne pas avoir reçu la lettre.
Le président el-Assad, qui ne peut pas placer son pays en confrontation avec les États-Unis pour arrêter le recyclage des jihadistes, a laissé la Turquie, membre de l'Otan, s'en charger.
Le président Trump n'avait pas été informé du plan Votel-McGurk. Le secrétaire à la Défense, James Mattis a confirmé à ses hommes les instructions de la Maison-Blanche contre les jihadistes. Cependant Votel et McGurk sont toujours en place.
Thierry Meyssan

abonnement    Réclamations